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À partir de maintenant, il sera possible de suivre le CSAI sur Twitter. Par l’utilisation de ce réseau social, nous y communiquerons nos prises de position, certaines informations pertinentes à notre pratique et aussi des commentaires sur l’actualité économique ou sur des événements à venir.
En ajoutant Twitter à ses outils de communication, le CSAI entend bien démontrer qu’il est proactif et déterminé à faire valoir ses opinions et promouvoir la profession de syndic autorisé en insolvabilité.
Nous sommes heureux de la mise en ligne de notre nouveau site Web. Ce dernier se veut un outil d’informations tant pour le public que pour les membres. Nous vous invitons à le consulter.
Également, nous vous informons que la campagne de publicité visant la mise en valeur de la profession débutera dès les premiers jours de janvier 2012 sur les ondes de RDI. Nos publicités seront diffusées durant 3 semaines, du lundi au vendredi, au début du Téléjournal de 17 h et 18 h, à RDI Monde, à RDI en direct et à 24 heures en 60 minutes et le dimanche, aux Grands reportages et à Enquête.
Finalement, les capsules publicitaires seront diffusées sur le WEB à TOU.TV à partir du 16 janvier.
La campagne publicitaire nous permettra d’accroître la crédibilité de l’Association, de repositionner la profession en général et de nous démarquer avantageusement des autres offres faites aux consommateurs en situation financière précaire.
Vous pouvez nous faire part de vos commentaires à [email protected]
Numéro de téléphone sans frais pour tout le Québec : 1-888-420-4288
Je vous souhaite un joyeux temps des fêtes et une bonne année 2012.
Virginie Comtois, CA, CIRP
Présidente du Conseil des syndics autorisés en insolvabilité
Statistique Canada a récemment annoncé que le ratio d’endettement des ménages canadiens s’élevait en moyenne à 153 % du revenu personnel disponible. En comparaison, dans les années 80, ce taux se situait à environ 80 %. Le Conseil des syndics autorisés en insolvabilité du Québec se sent interpellé par cette situation et souhaite intervenir afin d’éviter que cette situation s’envenime et entraine encore davantage de personnes dans la spirale de l’endettement.
« Alors que la faiblesse des taux d’intérêt devrait permettre aux Canadiens de rembourser leurs dettes plus vite, ce n’est pas ce qui se produit. Les Canadiens ne diminuent pas leurs dettes, ils consomment plus », s’inquiète Mme Virginie Comtois, présidente du Conseil des syndics autorisés en insolvabilité du Québec.
« De plus en plus d’individus risquent de se retrouver en situation financière précaire, poursuit-elle. Ils sont de plus en plus vulnérables aux baisses de revenus ou lorsque survient une dépense imprévue. Et ces situations sont courantes et souvent hors de contrôle : naissance d’un enfant, perte d’emploi, séparation, maladie, déménagement. On ne peut que se montrer inquiet face à cette situation. »
Afin de mieux se préparer pour faire face aux surprises de la vie, le Conseil des syndics autorisés en insolvabilité recommande tout simplement de recourir à la bonne vieille méthode de gestion des finances personnelles, soit la réalisation d’un budget détaillé. Cet outil fort simple à remplir permettra au consommateur inquiet de sa situation financière d’ajuster ses dépenses en fonction de ses revenus.
« Mieux vaut prendre conscience rapidement de la situation et apporter les correctifs au plus vite. Puis de nombreuses ressources sont disponibles pour aider le consommateur aux prises avec des difficultés financières », mentionne Mme Comtois.
Sur le Web, les consommateurs peuvent aisément trouver des outils de calcul pouvant les aider à effectuer leur budget.
Comme chaque année, la période précédant le temps des Fêtes sera caractérisée par la prise d’assaut des centres commerciaux. Menée par des consommateurs en quête des plus beaux cadeaux, cette opération, bien qu’amusante et pleine de bonnes intentions, peut aussi conduire à des lendemains malheureux si la consommation a été excessive. Sans vouloir jouer les rabat-joie, le Conseil des syndics autorisés en insolvabilité du Québec souhaite offrir quelques conseils à tous ceux qui auraient envie de dépenser plus qu’ils ne le peuvent en réalité.
« Tout le monde fait face à cette situation. On est toujours pris entre le choix de faire plaisir à ses proches et celui de faire plaisir à son portefeuille. Mais les deux ne sont pas incompatibles. Il faut simplement bien se préparer, et cela permettra à bien des gens d’éviter un endettement indésirable », explique Mme Virginie Comtois, présidente du Conseil.
Tout d’abord, il faut admettre que la fameuse liste de cadeaux demeure la meilleure façon de contrôler les excès. Encore faut-il résister à la tentation de la bonifier de manière spontanée. Ceux qui s’y tiennent fidèlement y gagnent souvent en temps et en économies. De plus, faire une liste permet de mieux évaluer le budget global qui sera consacré aux achats des Fêtes. Ainsi, il sera même possible de mettre de l’argent de côté afin de payer tous les cadeaux en argent comptant, plutôt qu’avec une carte de crédit.
Quand c’est possible, il est aussi conseillé d’amorcer les achats de Noël plusieurs semaines à l’avance. C’est peut-être un peu moins féerique, mais au moins, cela a l’avantage de répartir les dépenses dans le temps. Toutefois, il ne faut pas faire l’erreur d’en acheter plus : le but est d’étaler les dépenses dans le temps, non pas d’en créer davantage.
Autre recommandation, mais cette fois très difficile à appliquer pour certaines personnes : résister à la propension de toujours vouloir en faire plus d’année en année. Il est important de faire des choix logiques qui respectent avant tout votre capacité de payer. C’est la même chose avec le jeu des comparaisons. Il y aura toujours des enfants qui diront qu’un de leurs amis a reçu plus de choses qu’eux. Chacun sa réalité.
« Faire plaisir à ses proches, ça fait partie de la magie du temps des Fêtes. Il faut simplement faire attention et ne pas nuire à sa santé financière. Bien des gens l’ont compris à leurs dépens une fois le mois de janvier arrivé », indique Mme Comtois.